Les fleurs de Bach ou l'invitation à cueillir la rosée du matin.
- dorine51
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Dernière mise à jour : il y a 2 jours
L’histoire des Fleurs de Bach débute avec un homme : Edward Bach (1886-1936), médecin anglais, bactériologiste et homéopathe. Après une période d’exercice en médecine conventionnelle à Londres, il se détourne dans les années 1920-1930 de la médecine traditionnelle, qu’il juge trop centrée sur les symptômes physiques, pour explorer une méthode plus globale, ce qu’il considère comme la guérison du corps, de l’âme et de l’esprit. Convaincu que les émotions — peur, anxiété, colère, doute, désespoir, etc. — pouvaient être à l’origine de déséquilibres physiques, il imagine un protocole fondé sur la nature : des fleurs sauvages, cueillies dans la campagne anglaise, en mesure d’émaner une énergie capable de réharmoniser l’individu.

Ce qu’on peut, et ne peut pas, attendre des Fleurs de Bach ?
Pour le Dr Bach, la maladie physique pouvait être la conséquence d’un déséquilibre émotionnel ou psychique. Peurs, anxiété, culpabilité, incertitude, manque de confiance : n'est-ce pas ce qui peut nous pousser à l'action ou à l'inaction au quotidien ? Il en serait de même pour nos cellules et le fonctionnement de nos systèmes internes. Tous ces états intérieurs peuvent perturber l’harmonie de l’individu, entravant sa capacité naturelle d’auto-régulation. Les Fleurs de Bach visent donc à restaurer l’équilibre émotionnel, afin que le corps puisse retrouver sa santé. Ce n'est donc pas l'équilibre émotionnel qui établit une rémission mais il est une condition sine qua non; si vos émotions vont mal il y a moins voire peu de chance d'auto-régulation ou de guérison.
Chaque essence florale correspond à une émotion ou un état d’esprit négatif et prétend aider à le transformer en qualité positive : confiance, clarté, paix intérieure, calme, résilience, etc.
Le système repose sur la simplicité : ces remèdes peuvent être combinés, pris individuellement ou mélangés, selon les besoins émotionnels du moment.
Vous pouvez découvrir plus précisément chaque fleurs de Bach et apprendre à vous en servir pour vous ou vos animaux en assistant aux 7 ateliers fleurs de Bach que j'anime à Leclerc à Vitry-Le-François tous les premiers samedi du mois; ou en prenant rendez-vous pour un bilan émotionnel personnalisé grâce au formulaire de contact.


Dans cet article vous trouverez déjà quelques utilisations mais un usage personnel mérite d'être accompagné pour préserver les subtilités de vos besoins et choisir les bonnes associations, durées et quantités.

Accompagner des périodes de stress
Les formulations sublinguales, les élixirs ou les préparations naturelles peuvent accompagner efficacement les périodes de stress en aidant le corps et l’esprit à retrouver un certain apaisement. Elles n’agissent pas comme une « solution miracle », mais comme un soutien qui facilite la régulation émotionnelle. Leur utilité réside dans leur capacité à créer un espace intérieur plus calme, permettant à la personne de réagir différemment à ce qu’elle traverse.
Avant un voyage ou un trajet en avion : pour l’anxiété anticipatoire légère : Rock Rose peut être utilisé lorsqu’une personne sent une “pointe de panique” à l’approche d’un événement.

Apaiser l’anxiété et les ruminations
Certaines préparations naturelles sont particulièrement utiles lorsque l’anxiété s’installe sous forme de ruminations, d’inquiétudes envahissantes ou de tensions physiques (mâchoire serrée, respiration courte). Elles offrent un point d’ancrage, un rituel qui apaise le flot mental et aide la personne à revenir dans le moment présent. L’objectif n’est pas de masquer l’anxiété, mais d’en calmer les manifestations pour permettre une meilleure gestion émotionnelle.
Par exemple, quelqu’un qui a tendance à cogiter le soir utilise une synergie relaxante afin de calmer le mental et faciliter l’endormissement. Les synergies sont plus efficaces mais doivent être personnalisées avec un conseiller en pharmacie ou un naturopathe.
Pour les ruminations du soir : White Chestnut aide à canaliser le flux mental répétitif.

Utile dans les approches bien-être
Dans un contexte de bien-être global, elles fonctionnent comme un complément qui enrichit les routines quotidiennes : elles permettent une meilleure reconnexion au corps, aux sensations et au souffle. Elles accompagnent très bien une routine sportive douce tel que le yoga, le Qi-gong; ou encore un rééquilibrage alimentaire qui peut parfois être émotionnellement perturbateur. Leur intérêt est autant mental qu’énergétique : elles créent un cadre favorable à la détente profonde. Cela peut aider à maintenir ses routines matinales: intégrer une préparation relaxante avant sa séance de yoga du soir afin d’augmenter son lâcher-prise. On l’utilisera après le sport pour accompagner la détente musculaire et mentale, facilitant une transition douce vers la soirée.
White Chestnut le soir dans un rituel de coucher pour apaiser le mental.
Olive après une longue période d’efforts

Appuyer une démarche de développement personnel ou de transition
Les Fleurs de Bach peuvent devenir des miroirs émotionnels, aidant à identifier les blocages, les schémas, les réactions instinctives. Elles ne remplacent pas une thérapie, mais peuvent accompagner une réflexion intérieure.
Pour quelqu’un qui veut apprendre à dire non : Centaury pour l’assertivité
Changement de travail, rupture, retraite : Walnut pour l’adaptation

Utile en naturopathie: renforcer une hygiène de vie
En naturopathie, l’usage de ce type de soutien s’inscrit dans une démarche d’équilibre du terrain et d’autorégulation du système nerveux. L’objectif n’est pas de traiter un symptôme isolé mais de soutenir l’organisme dans sa capacité naturelle globale à s’apaiser et à récupérer. Ces outils entrent souvent dans les protocoles liés au stress, au sommeil, à la gestion émotionnelle ou à la fatigue nerveuse.
Le plus souvent un naturopathe sérieux vous recommandera des synergies en fonction de votre bilan d'hygiène de vie global.

Accompagner une prise de conscience
Ces outils peuvent soutenir les moments de prise de conscience, où l’on commence à comprendre d’où vient un mal-être ou une tension intérieure. Ils facilitent l’observation de soi et apaisent le brouillard émotionnel, ce qui permet de réfléchir plus clairement et de faire émerger des solutions.
Pour une personne qui identifie enfin que son stress provient d’un perfectionnisme excessif et utilise une fleur de Bach pour accompagner son travail de lâcher-prise; ou quelqu’un qui réalise qu’une relation ou une situation professionnelle l’épuise et utilise un soutien émotionnel pour clarifier ses choix et poser des limites.
Chestnut Bud pour ceux qui “refont toujours les mêmes erreurs”.
Elm pour retrouver une attitude sereine face aux responsabilités

Il existe 7 thèmes autour desquels nous pouvons classer les 38 fleurs de Bach. Parfois la frontière entre ces thèmes est, comme l'être humain, complexe ! Il s'agirait plus d'une palette de couleurs nuancées que l'homme aurait essayé de catégoriser. Cela est nécessaire pour apprendre, comprendre et retenir la richesse de la nature mais parfois l'expérience prime. Dans ce cadre, leur efficacité ne se mesure pas seulement en "symptômes soulagés", mais en ressentis, en qualité de vie, bien-être émotionnel, clarté intérieure.
Mécanismes proposés, hypothèses et limites
Trois grandes hypothèses tentent d’expliquer des effets perçus :
Ritualisation et focalisation de l’attention intérieure entraînant des changements psychophysiologiques (réduction du stress, meilleure régulation autonome):
L'effet placebo et attention thérapeutique
hypothèses énergétiques (qualités vibratoires), qui restent non mesurées par les outils actuels de la chimie analytique.
Les deux premières sont compatibles avec des mécanismes psychosomatiques documentés par la recherche en psychologie et neurosciences ; la troisième relève davantage d’un cadre interprétatif non vérifiable par les méthodes scientifiques conventionnelles. Les cliniciens sérieux reconnaissent que l’effet le plus vraisemblable est un mélange d’attention, d’intention et de contexte rituel.
Pourquoi venir aux ateliers? Ce que je vous propose & ce que vous pouvez en attendre
Je conçois les Fleurs de Bach non pas comme des pilules miraculeuses, mais comme des outils d’accompagnement doux, respectueux et accessibles pour aider chacun à se reconnecter à ses émotions, à observer ce qui greffe stress, peur, déséquilibre, anxiété, et à les traverser avec douceur.
En introduction nous reparcourrons ces questions et ça sera le moment de poser les vôtres:
Comprendre la philosophie derrière les Fleurs de Bach : pourquoi elles ont été inventées, quelle vision de l’être humain elles incarnent et découvrir le processus de fabrication : pour vous permettre de saisir ce qu’il y a, ou pas , de concret dans un flacon. Appréhender les limites, sans tabou, et savoir comment les intégrer dans une approche holistique sincère.
À l’atelier, je vous aiderai à :
Explorer comment les utiliser concrètement : moments propices (changements de saison? Angoisses? transitions et ambitions ?), posologie (quelques gouttes dans un verre d’eau? Ou selon les recommandations?), combinaisons possibles, hygiène de vie associée sur un cas pratique choisi pour vous.
Approcher les Fleurs de Bach comme un élargissement de ta boîte à outils : phytothérapie, nutrition, aromathérapie, mycothérapie… mais avec douceur, sens, respect de l’individu.

Pourquoi venir ? Parce que cet atelier ne sera pas une conférence abstraite, mais une expérience vivante. Un moment d’échange, de partage, de compréhension — pour que vous repartiez avec vos repères, votre propre discernement, et peut-être si vous le souhaitez votre premier flacon choisi en conscience parmi la marque originelle proposée à la parapharmacie ou la Velbecia pour animaux.
Un peu d'Histoire : inventeur et naissance du concept
En effet, Edward Bach commence sa carrière en médecine comme chirurgien et bactériologiste, puis s’oriente vers l’homéopathie, domaine dans lequel il expérimente la relation entre état psychique et manifestations corporelles. Son abandon progressif de la pratique hospitalière pour la recherche sur le terrain agrémentée de promenades, observations botaniques, cueillettes sauvages, s’inscrit dans une logique à plusieurs mouvements : retour à la nature, montée des approches holistiques, et critique d’une médecine perçue comme mécaniste. Son œuvre se structure autour de l’idée que les qualités perçues des plantes (caractères, façon d’être dans leur milieu) peuvent refléter des états psychiques humains, idée qui s’inscrit dans une longue tradition d’empathie symbolique entre plantes et humains (que nous retrouvons en phytothérapie, aromathérapie mais surtout dans la notion de Totum en Gemmothérapie: thérapie par les bourgeons). Cette perspective a favorisé une transmission non seulement clinique mais également culturelle : dès les années 1930, ses remèdes sont diffusés par des cercles d’adeptes, des dispensaires, puis des centres dédiés à la conservation et la diffusion de sa méthode.
Entre 1928 et 1936, il identifie 38 remèdes floraux (fleurs, arbres, buissons ou végétaux sauvages), chacun associé à un type d’état émotionnel négatif. Parmi ses premières découvertes figure l’essence de l’Impatiens dès 1928.

L’“Impatiens” (Impatiens glandulifera, couramment appelée balsamine de l’Himalaya) occupe une place singulière dans l’histoire du système Bach : c’est l’une des premières essences que Bach identifia lors de ses recherches de 1928, et elle servit de modèle à sa méthode. En observant Impatiens, Bach remarqua une vivacité interne, une tension prête à éclore, une impatience dans la forme même de la plante et de sa façon de libérer ses graines. Cette observation botanique, la projection brusque des graines, lui inspira immédiatement une lecture symbiotique avec le vivant, qu’il traduisit en remède pour des états d’irritation, d’impatience et d’intolérance à la lenteur des autres. Au-delà de la simple métaphore, cette découverte initiale permit à Bach de tester et d’affiner la méthode solaire d’extraction : Impatiens étant une fleur adaptée à la préparation par macération au soleil, elle offrit un terrain expérimental pour formaliser la technique et la logique d’association entre mouvement végétal et état psychique. Ce rôle primordial d’Impatiens est bien documenté dans les premiers récits et archives du Bach Centre et des premières publications liées aux remèdes originels.
La période 1930–1934, qu’il passa souvent à la campagne, notamment près de la mer, fut particulièrement productive : après avoir quitté sa pratique londonienne, il se consacra entièrement à la plante et à l’élaboration de sa méthode.
À sa mort en 1936, le système des 38 remèdes était complets. Ses assistants, Nora Weeks et Victor Bullen, continuèrent de diffuser son œuvre, dans le centre qu’il fonda.
Ainsi naquit l’univers des “Fleurs de Bach” : simple, naturel, accessible — l’idée était que chacun, même sans formation médicale, puisse puiser dans la nature des supports pour accompagner ses états intérieurs.
Le procédé : comment sont extraits les principes des fleurs de Bach
Le principe central des Fleurs de Bach est d’extraire l’essence et l'essence vibratoire — ou ce que Bach considérait comme l’énergie subtile — d’une fleur, et de la transférer dans de l’eau, puis de la conserver dans de l’alcool. Cette essence, très diluée, est ce qu’on appelle une “fleur de Bach”.
Bach a mis au point une méthode principale d’extraction :
La méthode solaire (Sun Method) : pour les fleurs délicates ou celles qui donnent peu de matière. On cueille des fleurs fraîches un matin (souvent quand la rosée est présente), puis on les dépose délicatement sur l’eau de source pure dans un récipient en verre, sans les manipuler manuellement si possible, afin que l’eau reste vierge. On laisse macérer au soleil pendant environ 3 à 4 heures. Le rayonnement solaire permet de transférer l’énergie de la fleur à l’eau.
Il existe aussi la méthode par décoction (Boiling Method) : pour les plantes ligneuses, arbustes, arbres, ou quand le soleil est insuffisant (hiver, ciel couvert, etc.). On fait bouillir les parties florales (fleurs, bourgeons, parfois feuilles) dans de l’eau de source pendant environ 30 minutes. On laisse refroidir, puis on filtre. L’eau ainsi chargée constitue la base de l’essence.
Après filtration, cette eau florale est mélangée à parts égales avec de l’alcool fort (souvent brandy) pour la conservation : c’est ce qu’on appelle la teinture mère.
Pour la vente ou l’usage courant, la préparation est ensuite fortement diluée : deux gouttes de la mère dans un flacon de 30 ml d’alcool servent de stock pour créer les flacons usuels que l’on trouve en parapharmacie ou en boutiques spécialisées.
Ainsi, contrairement à la phytothérapie classique où des molécules actives sont conservées, ou aux huiles essentielles (concentrés tangibles) les Fleurs de Bach sont des essences extrêmement douces, sans odeur, goût ou matière perceptible, ce qui s’inscrit dans une approche subtile, énergétique. Le procédé Bach se distingue de la phytothérapie et de l’aromathérapie sur plusieurs plans:
Les préparations bachiennes ne cherchent pas à isoler des principes actifs chimiques mais à « capter » une qualité perçue. La méthode solaire repose sur l’idée d’une interaction entre lumière, structure florale et eau ; la décoction, elle, vise à extraire ce qui est plus « résilient » dans les tissus végétaux. Le mélange avec de l’alcool (brandy) a une fonction pratique: conserver la matière en l’absence de réfrigération et stabiliser la préparation. Sur le plan analytique, les essais modernes montrent l’absence de composés volatils en concentrations actives dans ces élixirs, ce qui confirme la nature non pharmacologique du produit.
Pratiques contemporaines de production et labels
Aujourd’hui, certaines marques revendiquent suivre rigoureusement les méthodes originales — fleurs cueillies à l’état sauvage, eau de source, alcool bio, respect des saisons, afin d’offrir des essences authentiques.
Par exemple, la marque Bach original du laboratoire Famadem

se présente comme respectant strictement la méthode du Dr Bach, garantissant un procédé naturel et la traçabilité des plantes.
Certaines maisons revendiquent donc une production artisanale fidèle à la tradition : cueillette locale, traçabilité, respect des périodes de floraison, et procédés manuels; mais d’autres fabricants, pour des raisons d’échelle, industrialisent certaines étapes tout en prétendant conserver l’essence du procédé. Dans le commerce, la transparence sur l’origine botanique, la méthode d’extraction et l’étiquetage est variable ; cela a conduit à des débats réglementaires sur la classification (produit homéopathique, complément alimentaire, aliment). En pratique, les consommateurs soucieux de la provenance doivent rechercher des producteurs qui publient leurs modes de cueillette et leurs contrôles de qualité.
Position des autorités de santé et aspects réglementaires
Sur le plan réglementaire, la classification des Fleurs de Bach a évolué : Le Royaume-Uni, la France et certains pays les traitent comme compléments alimentaires ou produits de bien-être plutôt que comme médicaments. Cette reclassification a des conséquences sur les allégations autorisées et la publicité : les fabricants ne peuvent pas revendiquer des effets thérapeutiques médicaux même si des cas cliniques sont rapportés. Dans l’Union européenne, la situation varie selon les pays, et des instances de contrôle peuvent exiger une transparence sur l’étiquetage et la teneur en alcool. Ces aspects réglementaires sont importants pour le praticien et le consommateur, tant sur le plan légal que sur le plan d’attente réaliste vis-à-vis du produit.
Conclusion — Entre science et perception personnelle
Les Fleurs de Bach incarnent un pont entre nature, émotion, symbolisme. Inventées par un médecin au début du XXᵉ siècle, elles se proposent comme un chemin simple, accessible, vers un mieux-être intérieur sans recourir à des substances lourdes, sans promesses médicales, mais avec une vision holistique. Le procédé — macération solaire ou décoction + dilution + alcool — vise à extraire ce que Bach appelait l’essence vibratoire et l'essence de la plante.
Si vous êtes curieux, si vous cherchez un moyen doux de mieux vous connaître, de vivre vos émotions, de traverser le stress ou les transitions de la vie, alors l’atelier peut apporter un regard, des repères, des choix éclairés, je vous invite à découvrir les Fleurs de Bach autrement.
À samedi donc — et, peut-être, à l’aube d’un nouveau regard sur la nature, le bien-être, et la connexion entre émotion et corps.
Bibliographie et liens (références citées et utiles)
Ernst E. Bach flower remedies: a systematic review of randomised clinical trials. Swiss Med Wkly. 2010. PubMed : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20734279/ PubMed
The Bach Centre — histoire et archives (Mount Vernon, Dr Edward Bach) : https://bachcentre.com/en/ bachcentre.com+1
Thaler K. Bach Flower Remedies for psychological problems and pain — systematic review. CRD/NCBI 2009: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19470153/ PubMed
Impatiens — document historique / fiche d’essence (Bach Flower Learning / Bach archives) : https://www.bachflowerlearning.com/wp-content/uploads/2020/05/BFR-The-Essence-Within-Impatiens.pdf bachflowerlearning.com
Réglementation et reclassification au Royaume-Uni (MHRA / ASA / commentaires) : ASA / Nightingale Collaboration summary on MHRA decision (2014) — https://www.asa.org.uk/advice-online/health-bach-and-other-flower-remedies.html et analyse : https://www.nightingale-collaboration.org/news/157-bach-flower-remedies-foods-not-medicines.html asa.org.uk+1


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